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Julien Cohen est un brocanteur haut en couleur. Toujours cash, mais aussi sensible, il s’investit à 100%. Mais est-ce la bonne stratégie ?
Panique à bord pour Julien Cohen !
N’est pas Julien Cohen veut ! Dans la salle des ventes d’Affaire conclue, il arrivait à tirer son épingle du jeu en charmant ou en taquinant ses interlocuteurs. Impossible de compter le nombre de fois où il houspille sa collègue du marché Boiron Caroline Margeridon. Qu’on se le dise, elle le lui rend bien. Quant aux potentiels objets, s’ils lui font de l’œil, il rivalise d’ingéniosité pour mettre le grappin dessus. Il ou elle n’est pas né celui qui pourra remporter l’enchère !
Derrière ses lunettes mythiques, les téléspectateurs perçoivent une sensibilité à fleur de peau. La preuve, il n’utilise pas le discours préparé avec Karine pour annoncer son départ à ses followers de l’émission de Sophie Davant. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’entre le trublion Pierre-Jean Chalençon et lui, on ressent un immense vide dans la salle des ventes. Au moins lui, il a le mérite d’avoir réussi à rebondir !
Julien Cohen a-t-il la rancune tenace ?
Comme pour conjurer le sort, la présentatrice d’Affaire conclue décide de faire évoluer le concept. En coulisses, Julien Cohen n’hésite pas à critiquer. Pour la première fois, afin de ne pas la froisser, il utilise des pincettes pour ne pas froisser l’égo de son ancienne patronne. « Disons que c’était peut-être plus tonique, il y avait plus de suspense peut-être. » Comme toujours, il a du mal à dissimuler ses sentiments à l’égard des remplaçants recrutés par France Télévisions.
Selon Julien Cohen, il s’agirait d’un souci de caractères. « [Ils] sont peut-être un peu trop doux, ne vont pas aller chercher dans les retranchements de chaque personne et ne prennent pas de risques. » En lisant entre les lignes, on retrouve son modus operandi de l’époque. A-t-il vraiment tourné la page d’Affaire conclue ? La réponse, Zeronews vous la donne tout de suite !
Une règle imposée…
Soudain, notre ami Jordan met les pieds dans le plat. S’il devait faire les calculs, est-ce que cette expérience était rentable financièrement ? Dans un sourire, Julien Cohen répond avec une extrême précision. « On était tous payés le même tarif : 1 000 euros par personne et par jour, pour 26 objets soit 38 euros [chacun si on voulait] prendre le risque d’acheter [quelque chose] » Prenant son courage à deux mains, il va balancer cette « règle induite« . Nul doute qu’elle devrait faire jaser. L’expert en chinage qu’il est « ne peut pas ne pas [investir] parce que si [ce n’est pas le cas] [il] ne revient pas. »
… qui finit par le mettre sur la paille !
Quatre ans de coups de cœur plus tard, c’est l’heure des comptes ! Ces « 300 000 euros » remportés sont néanmoins a contrebalancer avec les « 1,2 million d’euros d’objets dépensés » et les « 500 000 euros d’objets invendables parce que je les ai achetés trop cher« . Aïe… qu’on aimerait être une petite souris pour se balader dans sa caverne d’Ali Baba ! En attendant, souhaitons-lui bonne chance pour ses projets de 2023 ! Pourvu que l’étincelle qui pétille dans ses yeux ne s’éteigne jamais…