Xavier Dupont de Ligonnès : nouveau rebondissement concernant sa sœur et sa mère

On vous fait part d'un nouveau rebondissement dans cette affaire criminelle très médiatisée et qui fascine toujours autant les Français.

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Xavier Dupont de Ligonnès : un rebondissement dans l’affaire

Si vous avez suivi l’affaire autour de Xavier Dupont de Ligonnès, vous savez que Geneviève (la mère) et Christine (la sœur) Dupont de Ligonnès étaient dans le collimateur de la justice. Les deux femmes faisaient partie d’un groupe de prière qu’elles avaient fondé. Certains adhérents ont porté plainte contre elles pour « abus de confiance« . L’AFP a eu de nouvelles informations sur ce dossier. Les équipes du Figaro les ont partagés à leur tour. Visiblement, les deux femmes ont été disculpées des faits reprochés.

Où en est l’affaire de Xavier Dupont de Ligonnès ?

La mère et la sœur mises hors de cause par la justice

Forcément, les gendarmes se sont intéressés aux autres membres de la famille de Xavier Dupont de Ligonnès. Le groupe religieux fondé par sa mère faisait l’objet de plaintes depuis novembre 2019. De quoi semer le doute… Des adhérents accusaient l’organisation (l’Église de Philadelphie ou Le Jardin), d' »abus de faiblesse en état de sujétion psychologique visant un mouvement d’inspiration catholique, traditionaliste, radical et apocalyptique« .

Ce mardi 3 janvier, l’AFP informe d’un rebondissement concernant cette plainte. « L’enquête visant la mère et la sœur de Xavier Dupont de Ligonnès pour abus de faiblesse sur fond de possibles dérives sectaires a été classée sans suite pour ‘infraction insuffisamment caractérisée« . Ainsi, par manque de preuves, Geneviève et Christine redeviennent en quelque sorte innocentes. En tout cas, pour le moment…

Une décision de justice évidente pour l’avocat de Geneviève et Christine

Maître Stéphane Goldenstein, l’avocat de deux protagonistes, réagit au classement sans suite : « Aucune surprise quant à ce classement sans suite car les infractions n’étaient pas constituées« , déclare l’homme de loi à l’AFP et partagé par le Figaro. De plus, il souligne : « Mes clientes veulent retrouver l’anonymat qui était le leur et que l’on cesse de les diffamer au travers l’exploitation de l’affaire qui concerne Xavier Dupont de Ligonnès, notamment Mme Schiappa qui manifestement s’est trompée de cible. »

L’avocat pointe du doigt Marlène Schiappa quand elle était ministre. En effet, en octobre 2020, elle déclarait vouloir contrôler les pratiques « sectaires«  de ce groupe mystérieux. Affaire à suivre…