L’amour est dans le pré : Alain l’Auvergnat s’est séparé d’Alain, une rupture déchirante sur M6

Sur le tournage de L'amour est dans le pré, la tension grimpe d'un cran ! En acceptant de déballer ses sentiments, Alain L'Auvergnat risque de vous surprendre. Accrochez-vous, nous rentrons dans une zone de turbulences !

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Depuis la diffusion de son portrait, la quête d’Alain L’Auvergnat laisse le public songeur. A-t-il réussi à trouver son prince charmant ?

Sentiments ou pas ? Alain L’Auvergnat fait le point !

Depuis deux ans, la pandémie sème la panique sur le tournage de L’amour est dans le pré. Tout d’abord, forcée de s’organiser dans l’urgence, la production déniche un lieu adapté. Attention, le premier candidat qui ne respecte pas les gestes barrières devra rendre des comptes à Karine Le Marchand et à son complice Cupidon. Après avoir déserté pendant quelques semaines, l’un des variants contamine d’Alain. Démoralisé d’être dans l’incapacité de rencontrer ses prétendants en chair et en os, il leur propose de venir directement à la ferme en Auvergne. Pas de panique, c’est déjà négocié avec la production. En lui faisant cette faveur, elle espère sincèrement qu’il trouvera son prince charmant. Or, ils étaient loin de se douter que sur place, rien n’allait se passer comme prévu !

Alain, un éternel insatisfait

Durant son portrait, Alain fait le point. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’a pas que de bons moments à raconter. Certes, même s’il refoulait son homosexualité, la présence de ses enfants a réussi à lui tirer la tête hors de l’eau. Mais lorsque sa ferme brûle et qu’il constate qu’il n’a plus de quoi voir venir, il s’écroule. Consterné, déprimé, il cherche la méthode pour rebâtir ses projets professionnels. Tant qu’à faire, pourquoi pas attirer un prince charmant dans ses filets. Tel un phénix, il renaît de ses cendres tout en gardant dans un coin de son esprit traumatisé, qu’à deux, c’est tout de même mieux.

Lors d’une sortie au restaurant, le torchon brûle entre Jean-Noël et le second Alain. Un peu énervé de devoir enfiler son costume d’arbitre entre ses deux recrues, il finit par trancher. En embrassant son homonyme en cachette, il se sent tel un petit garçon prit la main dans le pot de confiture. D’ailleurs, absents pendant le moment fatidique, les cameramans le somment de se justifier. Mi-figue, mi-raisin, il prend une voix enfantine et déclare. « Je suis un peu comme ça, je m’emballe. »

Ce détail ne passe pas

Il y en a un à qui cette histoire a brisé le cœur, c’est Jean-Noël. Dès qu’il arrive à Paris, l’hypersensible a du mal à dissimuler sa gêne. Et pour cause, son médecin n’était pas disponible pour lui faire un implant de cette incisive. Cette dent de devant manquante a-t-elle eu une incidence sur le choix d’Alain ? Même s’il dit ne pas accorder d’importance au physique, mais plutôt à l’âme, l’éleveur de veaux se rend à l’évidence. Ce détail va chambouler l’image qu’il s’était faite de ce militaire au grand cœur.

En fermant les yeux, Alain se souvient précisément de son ressenti. « Là, c’est une catastrophe ». Comme pour se justifier, il souligne que le « sourire » est l’un de ses critères de sélection. Certes, le regard est le miroir de l’âme, nous dirait un certain Cupidon. Pour d’autres, les fossettes ou les zygomatiques ne sont que le reflet d’une belle personnalité. Toujours partagé sur le sort de cet homme, il conclut en disant que le rendez-vous manqué au speed dating a eu raison de sa potentielle attirance. Plus de doute possible, c’est la double peine. « Si je l’avais vu, à la limite, mais quand quelqu’un arrive [dans cet état], ça surprend. » Pour l’un comme pour les deux autres, croisons les doigts pour que le soleil revienne à l’horizon !

Merci à nos confrères de Voici et de Salto