Cancer : une molécule innovante pourrait bloquer les tumeurs cancéreuses

Quand on apprend être atteint d'un cancer, on a l'impression que le ciel nous tombe sur la tête. Fort heureusement, des scientifiques espagnols viennent de mettre le doigt sur un potentiel remède. On vous dit tout !

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Rien qu’à l’évocation du mot cancer, on bascule à la renverse. Fort heureusement, la science vient de faire un bond de géant !

Le cancer, bientôt hors d’état de nuire ?

Depuis quelques heures, lles adhérents de La Ligue contre le Cancer tirent la sonnette d’alarme. Et pour cause, il semblerait qu’une étude à grande échelle permette de se sortir de cette mauvaise passe. Du moins, sans y laisser trop de plumes.  Après avoir analysé de plus près une molécule, le constat des experts est sans appel. Ils persistent et signent : ça ne serait que l’arbre qui cache la forêt. Mais ses résultats ne sont pas anodins dans le cas de la OMO-103. Placée en contact avec sa cousine démoniaque la MYC, elle l’empêche de diviser pour mieux régner sur l’organisme. Bref, c’est une petite révolution à laquelle Zeronews vous propose d’assister !

Des résultats prometteurs

Lorsque l’équipe d’Elena Garralda a commencé ses travaux, elle n’imaginait pas qu’elle allait mettre le doigt sur une découverte majeure. Après avoir recensé dix-sept patients atteints de cancer réputés incurables, elle demande l’accord des familles. Serait-il possible d’interrompre temporairement le traitement officiel et de leur administrer cette fameuse molécule ? Visiblement, ils ont bien fait d’accepter la proposition de cette scientifique barcelonaise.


Après analyse, le cancer de la moitié des malades est stable. En d’autres termes, les cellules ont arrêté de grandir et de se répandre un peu partout. Cerise sur le gâteau, la tumeur du pancréas de l’un d’entre eux a diminué de 8%,. Quant à l’ADN, c’est encore mieux, c’est pratiquement une réussite à tous les plans. Une fois dans le sang, OMO-103 demeure efficace pendant plus ou moins deux jours. Imaginez ce qu’elle pourrait faire si les médecins arrivent à la développer à l’infini.

Contrairement à la chimiothérapie qui donne des nausées ou qui fait perdre les cheveux, le test a prouvé qu’il n’y avait presque pas d’effets secondaires. Et rien que pour ça, ça pourrait motiver d’autres malades du cancer de réfléchir à une nouvelle manière de se soigner. Depuis qu’elle a pris la parole dans la presse spécialisée, cette docteur remporte tous les suffrages auprès de ses confrères.

De son côté, elle joue la carte de la prudence tout en affichant un sourire radieux. Elle ne serait qu’au début de ses investigations contre le cancer. En somme, nous promet que nous allons bientôt avancer dans le bon sens. Après deux ans de pandémie, c’est un vrai moment de bonheur.  Cette phrase, elle ne laissera personne indifférent. « Ces résultats préliminaires nous permettent d’être optimistes sur un éventuel développement de la thérapie basée sur OMO-103, avec la possibilité d’améliorer significativement le traitement des patients. » En voilà une superbe nouvelle !