Cancer du pancréas : les 2 signes à surveiller pour déceler la maladie jusqu’à 3 ans plus tôt

Quand le diagnostic du cancer du pancréas tombe, c'est souvent la consternation. Ah si seulement on avait pris le temps de faire des analyses approfondies ! Une récente étude scientifique met en lumière deux élements intéressants. C'est parti, suivez le guide !

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Soigner un cancer du pancréas n’est pas facile. Dès lors, une experte a décidé de se focaliser sur deux éléments. Son verdict affole !

Le cancer du pancréas comme vous ne l’avez jamais lu !

Chaque fois qu’elle le peut, l’Institut National du Cancer fait les comptes. Après deux longues années de pandémie, le moral des soignants est à zéro. En effet, à cause de la peur d’attraper l’un des variants, le dépistage ralentit. Autrement dit, même si on a un terrain génétique propice à avoir un cancer, on se dit que ça n’arrive qu’aux autres. Sans contrôle régulier, on peut vraiment passer à côté d’une catastrophe. Du reste, à l’instar de l’ovaire, celui du pancréas est quasiment indolore.

Fort heureusement, la recherche continue ! Il y a quelques heures, Zeronews vous parlait de cette molécule prometteuse. Aujourd’hui, nous avons choisi de nous focaliser sur cette publication britannique. Dire qu’elle chamboule tous nos préjugés sur le cancer du pancréas est un doux euphémisme. Si les laborantins en avaient eu connaissance avant, peut-être auraient-ils pu inciter plus de patients à pousser les investigations. Allez, c’est parti, notre équipe ne souhaite pas faire durer le suspense plus longtemps. Accrochez-vous, ça va secouer ! Bouclez votre ceinture, vous allez halluciner !

Victime d’un cancer du pancréas, surveillez de près ces symptômes

Sur le site officiel de Gustave Roussy, on nous fournit un vague aperçu de ce que l’on ressent. Connu pour avoir les plus grands spécialistes du cancer du pancréas, ces derniers nous expliquent que cette pathologie est tout sauf anodine. Même si on pourrait la confondre avec une gastro-entérite, des problèmes de transit répétés sont à prendre en considération. Dans un sens comme dans l’autre, se traiter avec des médicaments demeure la meilleure solution. Quand à cette période de fatigue incompréhensible qui paralyse votre quotidien, elle s’accompagne souvent d’une perte de poids fulgurante. Enfin, entre deux crises d’urticaires, la couleur de la peau ou du fond de l’œil mute et devient jaune.

Ces deux indices changent la donne !

Après avoir demandé l’accord de 8.777 malades et a 34.979 cobayes lambdas, cette scientifique leur propose de faire une banale analyse de sang. L’objectif est de détecter le moindre changement de taux de glucose. Associé à l’Indice de Masse Corporelle, on pourrait dorénavant savoir avec trois… ans d’avance ! On l’aura compris sans qu’on nous fasse dessin, ce genre d’informations est facile à obtenir. Il suffit de surveiller son alimentation ainsi que les courbes de la balance. Si jamais vous constatez le moindre changement, n’hésitez pas à en parler avec votre médecin traitant. Qui sait, peut-être a-t-il eu connaissance de cette étude ?