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Julie de Bona fait partie de cette génération de comédiennes qui sont totalement accro à leur métier. Or, ce téléfilm remet tout en question.
SOS Julie de Bona en détresse !
Solaire, Julie de Bona capte tous les regards. D’ailleurs, ceux qui lui ont donné la réplique saluent son professionnalisme. L’an passé, on se souvient de sa vive émotion en enfilant le costume de cette mère d’une petite fille handicapée. En dehors du tournage, elle amasse une foule de renseignements auprès des auteurs. Et si jamais les scénaristes ont utilisé un cas réel, elle redouble d’efforts pour rencontrer ceux qui sont passés par là.
En somme, son leitmotiv est de paraître crédible à l’écran. Venant de la part d’une comédienne, cette implication est tellement rare que Zeronews la souligne. De surcroit, dans ce téléfilm, entre deux prises, Julie de Bona ne va pas pouvoir retenir ses larmes. Nos confrères de Télé 7 Jours ont eu le fin mot de l’histoire !
Ce rôle a changé sa vie !
Après avoir visionné cette bande-annonce, la rédaction Zeronews a l’eau à la bouche. En découvrant le casting, on se dit qu’on aurait adoré être une petite souris. Ah si les rames de cet aviron pouvait parler, elles en avoueraient des choses sur Julia de Bona et ses copines. Derrière leur beau sourire, l’équipe des Dragon Ladies cache une terrible douleur qui ne pleure souvent qu’à l’intérieur. À l’instar d’Evelyne Dhéliat, elles souffrent d’un cancer du s*in, elles tentent de croquer et de graver chaque minute de bonheur.
À ce stade, ce n’est pas qu’une simple activité pour se divertir, mais davantage une question de survie. Et ce n’est pas leur oncologue qui pourra les empêcher de naviguer. Au contraire, il considère que cela fait partie du processus de réconciliation avec soi. Quant à Papi, il rivalise d’ingéniosité pour leur apprendre les coulisses de cette discipline sportive. Leur objectif ? Pouvoir brandir le trophée d’une compétition en Norvège. Contre toute attente, Julia de Bona a profité de ce tournage pour se remettre en question. Voici ce qu’elle confiait à nos confrères !
Julia de Bona, si épanouie par sa vie professionnelle
Émue aux larmes, elle n’arrive pas à oublier le visage et la douceur de ces femmes. C’est l’évidence, elle a gravé ces précieux moments d’échange dans son âme. Bien sûr, inutile de préciser que Julie de Bona s’en souviendra jusqu’à son dernier souffle. Bienveillantes, ces drôles de dames ont eu à cœur de partager les détails du parcours. Dans un second temps, elles abordent sans fards ni paillettes la méthode pour apprivoiser la douleur. Qui sait, peut-être qu’elle pourra leur renvoyer l’ascenseur un jour ?
Si elle devait faire le bilan, Julie de Bona estime que son métier lui a permis de croiser la route de tous ces anonymes hors du commun. Au centre « des aventures humaines très importantes », elles considèrent qu’elles sont un précieux trésor d’optimisme. Avec elles dans le paysage, on se dit que si on baisse les bras pour des futilités, c’est comme si on les trahissait. La suite, on vous la racontera dans notre prochain numéro !