Montrer Dissimuler le sommaire
Piquée par une araignée, l’équilibre de cette fillette bascule en enfer. Et pour cause, elle aurait pu y passer et gardera la stigmate à vie.
La présence d’une araignée n’est jamais anodine
Après deux ans de crise sanitaire, la mère de cette fillette ne s’attendait pas à basculer dans un tel cataclysme. Lorsque Phœbe se plaint d’une douleur à la lèvre, elle pense d’abord à un bouton de fièvre. Après vérification sur des forums, elle souligne la présence de plusieurs couleurs. « Vraiment noire avec des taches brunes et il y avait un anneau blanc ». Pourtant, elle ne s’inquiète pas plus que ça. Habituée aux dégâts provoqués par des moustiques, elle ne soupçonne pas une seconde qu’une araignée va démolir son quotidien.
QUID de cette morsure d’insecte ?
Auprès de nos confrères du New-York Post, Rachel donne des détails sur l’évolution des symptômes. Tous les matins, la blessure change d’aspect. Devenue enflée, celle qu’elle définit telle la sosie d’une verrue se met à rougir de plus en plus. Peu de temps après cette fracassante découverte, elle tombe nez à nez avec une araignée pas comme les autres. Cette teinte « rose orange » n’est pas courante. Or, la voyant s’éloigner par la fenêtre, elle ne cherche pas à la tuer et encore moins à l’aspirer. Constatant que la douleur de sa fille ne lui laisse aucun répit, elle se décide à prendre rendez-vous avec un dermatologue. Antibiotiques et crème en poche, elle est convaincue de stopper le « gonflement« . Un matin, tout se dégrade, car du « pus blanchâtre » s’en échappe. Encore une fois, elle tente de se rassurer en attendant qu’une croûte se forme.
L’araignée enfin identifiée
Épuisée comme jamais, Phœbe fait un malaise dans les escaliers. Heureusement que sa mère était là pour la retenir. En plaçant le thermomètre sur son front, elle doit se rendre à l’évidence. C’est plus grave que prévu. D’autre plus que de la tête au pied, la jeune adolescente brûle de fièvre. Soudain, cette dernière lui avoue qu’elle ne sent plus ses jambes bouger. Le sang de Rachel ne fait qu’un tour. « Je pensais à une septicémie et j’avais peur qu’elle reste paralysée. » Hospitalisés d’urgence, les experts posent enfin un diagnostic. L’araignée en est question appartient à la famille des veuves. Zeronews persiste et signe en vous précisant que c’est la pire de toutes !
Un traumatisme encore vivace
Deux mois après, Phœbe se sent mieux, mais elle possède une cicatrice juste au-dessus de la lèvre. Juste avant son rendez-vous avec Morphée, la tension grimpe d’un cran. Rachel doit la rassurer en accomplissant le même rituel. « Je dois remonter les stores, regarder par les fenêtres et vérifier entre les rideaux. Je [contrôle] constamment chaque pièce ». Soucieuse que son expérience serve, la mère de famille est cash. Si jamais on voit une araignée, qu’on n’hésite pas à la faire « sortir rapidement de la maison. Ne prenez même pas de risque. » Et au moindre « point noir », il ne faut pas trainer et prendre rendez-vous avec un spécialiste ! À bon entendeur…