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Ces fameux pesticides ne nous laissent aucun répit ! Après les légumes ou les fruits, on doit devoir apprendre à filtrer l’eau du robinet.
Les consommateurs d’eau de robinet sous le choc !
Durant la pandémie, difficile de gérer le quotidien sans y perdre des plumes. Aussi, le débat autour des pesticides a été interrompu. En effet, la communauté européenne préférait se concentrer sur la qualité des vaccins. Depuis la fin du protocole sanitaire, des analyses de l’eau du robinet jettent un froid. Dispatchés dans tout l’hexagone, 20% de foyers ont eu un liquide « non conforme aux critères de qualité, régulièrement ou épisodiquement » ne s’en remettent pas. Comme un malheur n’arrive jamais seul, la multiplication des rappels alimentaires nous fait sombrer dans la paranoïa. Après avoir consulté des experts, Zero news vous précise que la « valeur sanitaire maximale » ainsi que son éventuel « dépassement » sont à prendre en compte.
Un verdict fracassant
Le moins que l’équipe de Zero News puisse dire, c’est que Julie Mendret connait son sujet sur le bout des doigts. De l’eau, elle a en analyse pour au moins deux vies. Dans ses différentes thèses, elle livre ses conclusions. Ces dernières ne pourront laisser personne indifférent. Dans un premier temps, elle déplore que « les autorités sanitaires manquent d’études et de données pour fixer les seuils d’alerte de certains métabolites issus des pesticides. » Furieuse, elle espère que sa bouteille à la mer sera prise au sérieux. Avant d’affoler la population avec des « interdits », il faut pratiquer une politique de « cas par cas ». On l’aura compris sans qu’on nous fasse de dessin, à l’heure actuelle, personne ne peut se vanter de pouvoir prédire « les effets à long terme d’une exposition à de faibles doses. » D’ailleurs, en s’amusant à comparer avec les aliments non bio, elle persiste et signe. La nourriture devrait davantage inquiéter les autorités.
L’eau du robinet bientôt payante ?
D’autre part, cette scientifique a également quelque chose à dire sur la filtration de l’eau usée. Dans un sourire, elle nous précise la chose suivante. « Plus on limite les intrants dans les sols, moins il y aura de résidus de pesticides à traiter en bout de chaîne » ! Mais ce n’est pas le seul antidote qu’elle met sur le devant de la scène. « Puis, il va falloir adapter nos stations d’épuration, avec l’ajout d’un système membranaire ou à base de charbon actif. »
À l’instar de certains écologistes, la spécialiste invite le gouvernement à revoir sa copie tout en soulignant la qualité de ce procédé. Hélas, ce n’est pas gratuit et ça va prendre du temps. Alors que le prix de l’énergie divise déjà les Français, QUID de futur tarif de l’eau potable ? Certes, à l’étranger, nous avons l’habitude de ne consommer que la version minérale. Mais vu les restes de déchets en plastique sur les plages ou dans les forêts, la planète est plus que jamais en danger. Aïe, quel engrenage. Vivement que quelqu’un trouve une solution économique et ludique pour que ce souci soit définitivement derrière nous ! Nous vous disons donc à bientôt pour de nouvelles aventures !