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Depuis toujours, Laurent Baffie taquine ses amis ou ennemis. Or, cette fois, s’il souffre, il ne peut qu’assumer sa part de responsabilités.
SOS Laurent Baffie en détresse !
Souvent considéré comme un provocateur, Laurent Baffie manie le sarcasme à la perfection. Grâce à son complice Thierry Ardisson, il enchaîne les vannes à la vitesse de la lumière. D’ailleurs, chez Zeronews, on se souvient de ce moment incroyable avec Dorothée . C’est une évidence, quand une fois dans son collimateur, elle se sent prise au piège. Incapable de trouver une riposte à la hauteur, elle se venge en lui balançant un seau d’eau sur la tête. Avec le recul, il sait qu’il a échappé à une taloche !
Auteur de nombreuses pièces de théâtre, les places se vendent comme des petits pains. Sa plume ciselée peut parfois choquer. Qu’à cela ne tienne, Laurent Baffie ne compte pas mettre son second degré de côté. Aussi, en découvrant sa récente métamorphose à la télévision, ses fans pensent à une mauvaise blague. Vu qu’il passe son temps à critiquer les gens superficiels, il n’a pas pu tomber dans le piège de la chirurgie esthétique. Et pourtant, c’est bien le cas.
Tout sur le cauchemar capillaire de Laurent Baffie
Interrogé par notre confrère Kyan Khojandi, Laurent Baffie crache le morceau. En exclusivité, il raconte ce qui l’a poussé à prendre rendez-vous chez un spécialiste. « Un jour, je perdais mes cheveux, donc je me suis rasé [le crâne]. J’ai dit à ma femme : ‘Regarde, je n’ai pas une tête de chauve’. » Dépité par son reflet dans le miroir, il fait une allusion au comédien américain Bruce Willis. Qu’il regrette de ne pas avoir son charisme !
D’ailleurs, Laurent Baffie a un autre défaut qui l’empêche de passer à l’action. Même s’il le cache derrière son ironie, il est « très douillet [et] craintif ». Après tout, Etienne Rey précise que ce genre de pitreries, ce n’est que la pudeur de la tendresse. Donc, il prend son temps pour sélectionner « la meilleure des cliniques » ! Hélas, rien ne va se passer tel qu’il l’avait prévu. Si on lui avait dit qu’il éprouverait quarante-huit heures de douleurs insoutenables, il aurait réfléchi à deux fois avant de signer pour des implants. À l’instar de toutes les autres opérations de cet acabit, il doit retourner souvent faire des contrôles. Encore traumatisé par le scalpel, il redoute ces instants comme la peste. Qu’il se rassure, le plus dur semble désormais derrière lui !
Un constant fracassant
Profitant de cette confidence, il va en balancer une belle sur son mentor Guy Bedos. « Il y a beaucoup de gens qui ne veulent pas en parler, des vedettes, c’est comme si c’était tabou. » Décédé il y a deux ans, son père spirituel de l’humour noir a pratiquement toujours mis une perruque. Que le géniteur de Nicolas a dû « beaucoup souffrir en s’enfermant dans un mensonge. » Laurent Baffie ne mange pas de ce pain-là ! Avec le recul, il applique ce proverbe à la lettre. Même si ça demande quelques sacrifices, il faut accepter de subir pour être bien dans ses baskets. Suite dans le prochain numéro de Zeronews.