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Décédé à l’âge de 35 ans, Filip Nikolic a laissé derrière lui, une petite fille prénommée Sasha, qu’il a eu avec Valérie Bourdin. Près de 13 après sa mort, la jeune femme parle pour la première fois de son père devant les caméras de 50’inside. Ne vous inquiétez pas, la rédaction de Zéro News, va vous dire ce qu’elle a dit. Vous êtes prêts ?
Le décès soudain de Filip Nikolic
Devenu célèbre dans les années 1990, Filip Nikolic a marqué toute une génération. Avec ses comparses des 2be3, il a fait danser la France entière. Malheureusement, tout s’est arrêté brutalement pour lui. En effet, huit ans après la séparation du boys band, le chanteur a été retrouvé inanimé à son domicile, une plaquette de somnifère vide à côté de son lit. Plus de douze ans après, sa fille a pris la parole pour la toute première fois. Elle s’est notamment souvenue du jour où on lui a annoncé la mort de son père.
C’était sur le chemin de l’école. Agée de 3ans à l’époque, Sasha ne se rendait pas encore compte de ce que ça représentait : »Quand tu perds ton papa à trois ans, tu ne t’en rends pas compte ». D’ailleurs, le jour de l’enterrement, elle n’avait pas vraiment conscience de ce qui se passait. Ce n’est que deux mois après la disparition de son papa qu’elle a versé ses premières larmes. C’est en tout cas ce qu’a affirmé sa maman, Valérie Bourdin.
Un deuil qu’elle a pu faire à l’adolescence
Sasha Nikolic n’a pleinement pris conscience de ce qui arrivait deux mois après la mort de son père. L’ex-compagne de Filip Nikolic explique l’avoir vu en train de pleurer sur le canapé : »Elle était assise sur son canapé, elle avait un casque sur la tête, elle écoutait la musique de son père et d’un coup, je vois les larmes ». Et lorsque Valérie Bourdin lui a demandé ce qu’il se passait, elle a eu cette réponse : »Mais papa il me manque ». Une confidence poignante.
13 ans après le décès de Filip Nikolic, sa fille Sasha a appris à surmonter cette absence. D’ailleurs, la jeune femme a expliqué que c’est à l’adolescence, qu’elle a pu faire son deuil : »Mon deuil je l’ai commencé vers mes 12, 13 ans… Là je me suis dit, j’ai pas de papa. (…) On était vraiment très complices. C’est émouvant ». Pour ne jamais l’oublier, la jeune femme a décidé de se faire tatouer la date de naissance de son papa : »Ça m’inspire. Je pense qu’il me guide. Je le sens avec moi ».