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Enora Malagré, connue pour son départ de l’émission de télévision « Touche pas à mon poste » il y a six ans, a fait un retour remarqué à l’écran. Elle rejoint désormais l’équipe de Marina Carrère d’Encausse dans « Le Magazine de la santé » diffusé sur France 5. Dans une récente interview accordée à Télé 7 Jours, la chroniqueuse explique les raisons qui l’ont poussée à rejoindre cette émission : « Je connais Marina Carrère d’Encausse depuis mes débuts à la télé. C’est une amie doublée d’une femme extraordinaire. Au printemps dernier, lorsque j’ai été invitée pour parler de mon combat contre l’endométriose, elle s’est dit que ce serait sympa que je vienne régulièrement pour parler d’associations. Je suis en effet très investie dans la vie associative. Je collabore avec beaucoup d’entre elles, notamment celles qui s’occupent de la santé de la femme. Ce sera pour moi l’occasion de les mettre en lumière. Je ne serai pas là pour pousser des coups de gueule. Ça je l’ai fait dans une autre émission. »
Enora Malagré : un Engagement contre l’Endométriose
Enora Malagré intervient maintenant tous les jeudis alternés dans « Le Magazine de la santé ». Ce rythme lui permet de se consacrer à sa carrière de comédienne tout en poursuivant son combat contre l’endométriose. En 2019, elle a publié un livre intitulé « Un cri du ventre » où elle partage son expérience avec cette maladie. Depuis, elle continue de sensibiliser le public à travers différentes interventions dans les médias et sur les réseaux sociaux. Dans une récente interview accordée à Télé Star, elle déclare : « L’écriture de mon livre Un cri du ventre a été thérapeutique. Je suis malade et il n’y a pas de remède. J’ai une vie sous pilules. Le traitement qui aide à vivre avec cette maladie est costaud. La recherche est à zéro, on a interpellé le gouvernement. Il y a tout à faire : chercher des sous pour trouver un remède, former les médecins, car c’est une maladie parfois mal diagnostiquée. Une femme sur dix en souffre… »
Enora Malagré, à travers son retour à la télévision et son engagement contre l’endométriose, souhaite faire entendre sa voix ainsi que celle de milliers de femmes confrontées à cette maladie. Son intervention régulière dans « Le Magazine de la santé » lui permet de mettre en lumière les associations qui se consacrent à la santé des femmes. Elle continue de mener la lutte en plaidant pour un meilleur diagnostic, un soutien financier pour la recherche et une sensibilisation des professionnels de santé. Son combat est un message d’espoir pour toutes les femmes qui souffrent de cette maladie.
Enora Malagré : Son Engament Continu
Enora Malagré, après une absence de six ans à la télévision, a fait son retour en rejoignant l’équipe de Marina Carrère d’Encausse dans « Le Magazine de la santé ». Sa décision de rejoindre l’émission de France 5 est motivée par son souhait de parler d’associations qui se consacrent à la santé des femmes, notamment celles luttant contre l’endométriose. Son retour à l’écran lui permet de mettre en lumière ces associations et de sensibiliser le public à cette maladie.
Enora Malagré intervient désormais tous les jeudis dans « Le Magazine de la santé ». Elle profite également de ce rythme d’intervention pour poursuivre sa carrière de comédienne et continuer son combat contre l’endométriose. Son livre « Un cri du ventre » sorti en 2019 a été un moyen pour elle de partager son expérience et de sensibiliser le public à cette maladie. Elle souhaite également interpeller les autorités pour plus de soutien financier à la recherche et une meilleure formation des médecins pour diagnostiquer cette maladie souvent mal diagnostiquée. Son engagement est porteur d’espoir pour les femmes qui souffrent de cette maladie.
Enora Malagré utilise sa présence médiatique pour faire entendre sa voix ainsi que celle de milliers de femmes touchées par l’endométriose. Son retour à la télévision et ses interventions dans les médias et sur les réseaux sociaux sont autant de moyens pour elle de sensibiliser le public à cette maladie et de plaider pour une meilleure prise en charge. Elle lutte pour que la recherche progresse, que les médecins soient mieux formés et que les femmes atteintes d’endométriose ne soient plus ignorées.