Un apéro entre collègues dans un commissariat part en vrille, la suite est ahurissante

À l'intérieur de ce commissariat, c'est la drame. Depuis ce fameux soir, les locaux ne parlent plus de ce dérapage. Que s'est-il passé ? Zeronews vous dit tout !

© Archives Ouest-France

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Pas facile de comprendre comment ce commissariat a pu en arriver à ce point de non-retour. Accrochez-vous, ça ressemble à un film !

Ce commissariat devient le théâtre d’une tragédie !

Ce dernier mardi d’octobre, personne ne l’oubliera. Du reste, d’ordinaire célèbre pour leurs neutralités, les Suisses ont vraiment du mal à garder la tête froide. Et pour cause, ils en veulent à ceux qui sont censés protéger la veuve et l’orphelin. En choisissant de délaisser l’autorité au vestiaire, les locataires de ce commissariat n’auraient pas pu anticiper à quel point la situation allait être hors de contrôle. Quant aux habitants, c’est encore pire. Accepter les conséquences d’une telle trahison va prendre du temps et demander beaucoup d’efforts.

Et là, pour les salariés de ce commissariat, c’est le drame !

Dans la Brigade des stupéfiants de ce commissariat, il faisait figure de modèle. Et pour cause, ses collègues ne tarissent pas d’éloges à son sujet. Capables de résoudre une enquête en un temps record, les fauteurs de trouble le redoutent comme la peste. Hélas, il a suffi d’une seconde pour que le précieux équilibre de cet inspecteur bascule. Ayant besoin de décompresser, il remplit et vide son verre plus vite que la lumière. Souhaitant prendre du bon du temps, il regarde autour de lui et décide de focaliser son attention sur une poubelle tout en dégainant son p*st*let.

Lorsque la b*lle dérape et qu’elle atteint le pied d’un copain du commissariat, c’est la consternation. Opérer en urgence, on demande rapidement des comptes aux autres participants de cette soirée. En tout, ils sont cinq à avoir remarqué que quelque chose ne tournait pas rond. D’ailleurs, s’il n’était pas dans son état normal, pourquoi avoir tenté à sept reprises de viser la benne à ordures ?

Un verdict fracassant

Dans la presse, les journalistes n’ont pas plus d’informations à nous présenter tel le pourcentage d’alcoolémie. Classée confidentielle, cette donnée aurait pu nous fournir un aperçu des dégâts.  Au lieu de suspendre de ses fonctions, les autorités décident juste de lui attribuer un « simple » avertissement. Dans son dossier, ce résumé ne laissera personne indifférent. Il aurait volontairement « mis en danger de la vie d’autrui, lésions corporelles par négligence et entrave aux mesures de constatation de la capacité de conduire« .

Un air de déjà-vu

À titre de comparaison, un collègue d’un commissariat de la région parisienne a obtenu une condamnation plus lourde. Totalement hors de contrôle à cause d’une surconsommation d’alcool et de produits pour adultes, il dérobe la voiture de son amoureuse. Sauf que cette dernière occupe un poste important à Nanterre. Afin de donner l’exemple aux administrés et à ceux qui seraient tentés de reproduire ses gestes, il écope de six mois de prison avec sursis. Dans ce genre de bavure, qui aura la solution ? La justice pourra-t-elle trouver un équilibre ? Le mystère reste entier !

Merci à nos confrères de la Tribune de Genève et de Le Parisien