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Bluffant dans Les 12 coups de midi ou Les Grosses Têtes, Paul El Kharrat a un QI hors norme. Aura-t-il le même succès avec les femmes ?
SOS Paul El Kharrat en détresse !
A la fin de l’été, Paul El Kharrat fait parler de lui. En effet, après avoir raconté son parcours dans le jeu de Jean-Luc Reichmann, il souhaite résumer son quotidien atypique. N’ayant jamais caché au public qu’il était Asperger, il souligne ce paradoxe qui le hante nuit et jour. « L’autisme n’est pas une maladie ni une pathologie. Pourtant, je me surprends à le dire, parfois : ‘Je ne guérirai jamais’. Sans doute, car je sais que je n’atteindrai jamais la normalité de tout le monde. » A-t-il les ressources nécessaires pour continuer sans y laisser des plumes ? Zeronews vous donne un élément de réponse maintenant !
Paul El Kharrat manie à merveille les mots…
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Pendant des mois, l’ex-maitre de Midi se cloisone dans son appartement. Son objectif est de nous « raconter le Paul El Kharrant des coulisses. » Lassé d’entendre des horreurs à son sujet, il fournit à ses admirateurs « la clé pour entrer dans [son esprit et son] monde« . Sa définition de la ‘différence’ ne laissera personne indifférent. Mieux que personne, il en maitrise « ses bienfaits et ses affres [comme] son utilité et son abîme« . S’il devait résumer tout ça en une phrase, le sociétaire des Grosses Têtes dirait que « derrière les fards et les paillettes », sa « perception » de la vie lui a causé du tort.
Interrogé par nos amis de Planet, il justifie son projet littéraire. « Montrer aux gens mon autre personnalité assez peu visible, car j’ai une force mentale qui me permet de la dissimuler quand je suis en public, pour éviter de me dénigrer.. » Caché à l’intérieur d’une carapace en titane, il déplore de devoir se « b*ttre chaque jour pour [esquiver la divulgation de ses] penchants assez sombres. » Quel dramatique constat !
… pour guérir ses maux !
C’est l’évidence, sa notoriété lui a ouvert des portes au niveau professionnel. Pourtant, est-ce que l’admiration de ses pairs suffit pour compenser son manque d’amour ? Au fil de la lecture de son ouvrage, il se confie sur ses vaines tentatives avec les femmes. Son premier coup de cœur avait une décennie de plus que lui. L’ayant découvert à TF1, elle fait le premier pas sur les réseaux sociaux. « Comme le courant passait bien, on a décidé de se rencontrer. Je suis allé la voir à Angers, en train« .
Une fois sur place, la situation tourne au vinaigre. « On a commencé à discuter, et j’ai senti que nos échanges n’étaient plus si fluides. » D’ailleurs, l’attitude de son aînée va précipiter sa chute. « Elle pensait que, en une journée, j’allais tomber amoureux d’elle, qu’on allait se mettre ensemble tout de suite » Résultat des courses, telle une huître, Paul El Kharrat se referme.
Sans qu’on sache très bien pourquoi, elles ne sont jamais parisiennes. Cette jeune Lyonnaise « s’est montrée plus chaleureuse sur le quai de la gare. » Hélas, ils ne sont jamais revus. » Faisant le point, il nous balance que sa plus longue histoire a duré un peu près un an. A présent seul au monde, il aimerait tant « rencontrer quelqu’un avec qui construire une famille« . C’est tout ce que Zeronews lui souhaite !