Des étudiantes révèlent comment elles gagnent jusqu’à 800€/mois avec des photos de pieds !

Alors qu'elles pensaient être à l'abri, ces étudiantes rivalisent d'ingéniosité pour mettre du beurre dans leurs assiettes d'épinard. Cette méthode ne laissera personne indifférent !

©Hugo Amelin / RTL-Des étudiantes révèlent comment elles gagnent jusqu’à 800€/mois avec des photos de pieds !

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Qui aurait pu prévoir que des étudiantes seraient forcées de faire cette mission afin de percevoir moins de 1 000 euros ? On vous dit tout !

SOS étudiantes en détresse !

Depuis la crise sanitaire, un vent de panique souffle dans les couloirs des universités. En effet, jusqu’à il y a eu peu, le protocole contraint les doyens à revoir leur copie. Entre l’aménagement des salles et de cours, il y a de quoi en perdre son latin. C’est pourquoi, afin de payer les frais de scolarité et loyer, certaines étudiantes se rendent à l’évidence. Pour joindre les deux bouts, elles doivent décrocher un petit boulot.

Dans le passé, les horaires de McDonald’s semblaient convenir. Ce n’est pas la peine d’avoir un fort quotient intellectuel pour servir, préparer, livrer des hamburgers. Sauf qu’aujourd’hui, les étudiantes ont besoin d’argent rapide. Contre toute attente, une méthode circule sur les réseaux sociaux. Elle est tellement étrange qu’elle ressemblerait presque à une mauvaise plaisanterie. Accrochez-vous, nous rentrons dans une zone de turbulences !

Le témoignage de ces étudiantes est hallucinant

Nos confrères d’Europe 1 ont été les premiers à dénoncer ce phénomène. Sous couvert d’anonymat ou en changeant les prénoms, deux étudiantes acceptent de raconter les tenants et les aboutissants de cette histoire. « La plupart du temps, une photo se vend entre 15 et 20 euros, mais en respectant certaines conditions – port de talons, de vernis ou de bas – le tarif peut grimper jusqu’à 50« . Vous l’avez compris, sans qu’on vous fasse de dessin, c’est bien de clichés d’une partie de notre anatomie dont il s’agit. Et plus précisément de pieds !

Cela fait huit mois que Sophie a accepté ce genre de challenge. Avec un peu de recul, elle considère qu’elle n’aurait pas pu trouver mieux. Après avoir fait ses comptes, elle souligne le paradoxe de la situation. « Les APL et ce que me donnent mes parents me permettent juste de payer mon loyer. » Grâce à cette mission pas comme les autres, ces étudiantes peuvent remplir le panier de courses sans avoir à se serrer la ceinture. Quelle honte ça serait de demander davantage à sa famille ! De temps en temps, parmi ses amies étudiantes, elle se vante de planifier quelques extras divertissants. Et oui, malgré l’inflation, c’est possible !

Bien comprendre les ficelles de ce business

Cerise sur le gâteau, hormis une bonne connexion internet, ces étudiantes n’ont pas à investir dans du matériel de haute voltige. Avouant que le seul inconvénient, c’est de titiller la curiosité de ses clients, cet aspect « téléphone rose » lui demande de dépasser ses peurs. Cette patience et organisation, qui sait, peut-être pourront-elles s’en servir plus tard ? En plus des photos, les passionnés quemandent des accessoires. En outre, l’achat de paires de chaussettes ou de bas portés pulvérise des records jamais atteints. Chez Zeronews, on est autant intrigués que vous ! Suite dans notre prochain numéro !

Merci à nos confrères de Europe 1 et de Brut